18 institutions médicales évoluant dans la région métropolitaine de Port-au-Prince ont été contraintes de fermer leurs portes en raison de la prolifération de la violence imposée par les gangs armés qui opèrent dans la capitale haïtienne.
C’est ce que révèle le secrétaire général de l’Association Médicale Haïtienne (AMH) Jean Ester Ardrouin Louis Charles.
Le Directeur de l’hôpital Sanatorium, l’un des premiers à mettre les clés sous porte pour céder la place aux bandits armés de Gran Ravin, exprime son indignation face à cette situation qui affecte notamment les groupes les plus vulnérables du pays.
Le médecin appelle les autorités en place à assumer leur responsabilité face aux agissements des bandits qui n’épargnent aucun secteur de la société.
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